Fil d’actualité
Vous connaissez peut-être...
LES MISÉRABLES est un roman exceptionnel que j’ai lu seulement il y a quelques années. Il trainait dans ma bibliothèque depuis au moins plus de 40 ans puisque ma mère me parlait de ce livre dès mon adolescence. Durant les trois jours que j’ai pris pour le lire, je me souviens, j’animais un stage d’écriture, et partout où j’allais, souvent en vélo, je m’arrêtais un peu partout pour continuer de lire le livre tant le récit y est palpitant. Quel livre! On ne peut pas le lâcher. Tout y est. Le récit, le peuple, des personnages plus grands que nature, des mouvements politiques. De la philosophie. Et puis un style...celui de Victor Hugo. Éblouissant. Jamais lourd. Ce livre est indépassable. La littérature y est souveraine...Elle nous transporte, nous fait rêver...Un grand bonheur de lecture...
Commentaires
- Elaine Lafond Merci de la suggestion Louis-Dominique ! Je me suis remise à la lecture des romans d’Emile Zola tout récemment et cherchais d’autres classiques à ajouter à ma liste. 🙂
Je partage au cas où. Pis j’ai des amigos et des amigas en apprentissage de la belle espagnole. Tiens, hier même, j’ai rencontré par hasard Nora sur la rue Fleury; elle s’en allait à son cours d’espagnol! Je partage pour moi, j’ai juste entamé le document, je souhaite voir le film de Chomsky en Uruguay. Suivre Chomsky à l’aide d’un regard et d’un contexte autres qu’américains ou québécois - il n’est jamais venu à ma connaissance de tomber sur des sources européennes -, ça me semble prometteur pour saisir plus profondément le point de vue anarchiste de ce linguiste célèbre et marquant. Fendant.
Commentaires
- Jacques Desmarais Sur Pepe Mujica dans le char avec Chomsky : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mujica
Dans la série...
"Vous vous en foutez royalement et vous faites très bien -- mais je vous le dis pareil"...
Voici le No. 129 du Vol 17.
---
BLOGUE(S)...
Au moment de prendre des vacances de Facebook pour quelques semaines,
en octobre, j'ai aussi fermé les 3 blogues que j'avais créés ces
dernières années.
Et je précise, puisque c'est la question qui est
revenue le plus souvent dans les Messages privés que j'ai reçus depuis
mon retour ici, il y a une semaine :
Non, ils ne reviendront pas.
J'expliquerai -- ou non -- pourquoi un de ces jours.
.
En revanche j'ai commencé à en préparer un autre.
Si la tendance se maintien, celui-ci sera plutôt du type Journal
personnel, et composé essentiellement de vidéos narrés. Par moi, bien
entendu.
Dans ce but, je me suis un peu équipé : un micro passable
mais surtout un programme de repiquage audio et un autre de montage
vidéo.
Histoire d'apprendre un tout petit peu les bases de leur
utilisation, je me suis imposé quelques devoirs, dont voici l'un des
fruits.
Alors si vous avez 5 minutes et demie à perdre... soyez les très bienvenus.
.
Il s'agit d'un extrait des "Contes d’Hoffmann" d’Offenbach et Barbier. Acte 1, scène XII : « Voici les valseurs »
La scène : Le poète Hoffmann est amoureux-fou d’Olympia qu’il croit être la fille de monsieur Spalanzani, alors qu’en réalité ce dernier l’a construite : elle est un automate, un robot. La démonstration de valse de sa « fille » devant une ribambelle d’invités de marque se passe à merveille pour Spalanzani jusqu’à ce que, sabotée par un créancier mécontent, Coppélius… elle tombe en morceaux et qu’Hoffmann prenne conscience de sa méprise.
Un réveil fort douloureux, c’est –
malheureusement – ce à quoi l’on s’expose souvent lorsque l’on accepte
de se laisser guider par un phénomène dont on a négligé d’interroger la
nature.
J’ dis ça d’même… N’allez surtout rien lire de politique dans cette remarque…
.
Et bon dimanche !
.
Commentaires
- Lisette Laplante j'ai encore le cerveau sur mon oreiller...j'ai aimé...j'aime la valse...ma danse préférée...je peux vous dire que le son est très bon...tout un réveil...
- Josette Bélanger Merci! 🌺🌺
Un véritable petit coin de paradis! 😍
des sites aussi où télécharger de la poésie
Rêve 1
Un grand train immobilisé entre l'abîme et la volonté de vivre, un train composé de wagons vert anglais dont la locomotive a déraillé et gît couchée sur le flanc dans un nuage de fumées jaunes et noires, parmi les cris stridents des perroquets et des singes de la forêt amazonienne. Dans le wagon restaurant, situé au milieu du convoi, un prêtre en soutane (il n'a plus d'yeux pour voir) élève un calice au-dessus du front d'une jeune femme ravissante qui lui tire la langu...e. Où sont donc passés les autres passagers de ce rapide qu'aucune liste de chemins de fer en mentionne? Des caïmans gourmands donnent des coups de queue à assommer un buffle dans la vase gluante des berges du fleuve. Le silence retombe, les hurlements des animaux sont absorbés par l'immense muraille végétale qui surplombe cette scène ahurissante. Pour l'instant, ni le prêtre ni la jeune femme n'ont bougé. Après dissipation du nuage de fumée, on peut lire sur une pancarte accrochée à l'avant de la locomotive: PARIS -MILAN – PARIS. La machine noire craque de toutes parts et s'enfonce lentement en glougloutant dans la terre gorgée d'eau, entraînant à sa suite le train entier.
A dos de caïman, la jeune femme redescend le fleuve en riant aux éclats.
André Chenet, in “Le voyageur du XXe siècle”.
Illustration: "Le charme" (1909) par Le Douanier Rousseau
Tu imagines un monde sans France Inter, France Musique, France Culture ? Sérieux ?
Commentaires
- Stef La Gachette Bon souvenir 🎶
- Sylvain Cormier Cette fois, un pastiche si réussi que je croyais vraiment que c’était les Beatles. Mais non, c’était The Fut, groupe ad hoc de l’un des Bee Gees: écoutez-moi « Have You Heard The Word » et jugez-en! Fascinant.
https://youtu.be/MpNE2oNgrYc- Stef La Gachette Sylvain Cormier incroyable illusion
Dernière journée pour le Marché de Noël Erable-Arthabaska à Princeville de 9h30 à 16h30.
Si vous voulez un calendrier 2020, ne traînez pas, il ne m'en reste presque plus.
Samedi
et dimanche prochains, je serai au Marché de Noël Erable-Arthabaska de
9h30 à 16h30 à la Jardinerie Fortier à Princeville.
En vedette : mon calendrier 2020 "Cabanes à sucre du Québec".
Et bien sûr des cartes de souhaits, des photos sur toile, des photos sous passe-partout, etc...
✍️ "L'écriture consiste à sauver, depuis toujours, une reine en danger et à ne pas y parvenir."
👉Christian Bobin était l'invité exceptionnel de La Grande Librairie, à l'occasion de la sortie de son livre "Pierre" (Gallimard), et d'un surprenant "Cahier de l’Herne" (Editions de L'Herne) qui lui est consacré.
📺Retrouvez l'émission en replay sur le site de France 5 : https://bit.ly/34UMJzc


Commentaires
- Josée Croteau Beau modèle .....derrière un excellent photographe 😂💋
- Paul Hoffman Nice view!! :O <3
- Mario Tourigny Wow, très sexy mais pas vulgaire. Bravo vous deux.
- Robert Jolicoeur Tu oses . Tu oses....Es-ce toujours de "l'Art".


Sculptrice hors pair, le talent et le génie de Camille Claudel sont souvent restés dans l'ombre de son maître Auguste Rodin.
Marilyne Bertoncini et Carole Carcillo Mesrobian ont partagé un lien.
Si la madeleine de Robert Guédiguian se situe à Marseille, celle-ci est... alsacienne !
Commentaires
- Jean-Paul Lefebvre ben oui, se faire pousser par lavandominant !
- Sébastien Haton d'allée de lavande ?
- Jean-Paul Lefebvre S'il s'agit d'aller de lavandière, c'est retour vers le futur ? ou pas ?
Sa réaction est tout simplement parfaite!
A personne demain n'est promis.
Garde en joie ce coeur plein de mélancolie.
Bois du vin au clair de lune, ô ma lune, car la lune
Bien souvent brillera sans plus nous retrouver.
Le cercle où se place notre venue et notre départ,
Ne laisse voir ni principe ni terme.
Nul ne saurait dire, en ce monde, au juste
D'où il vient, où il va.
Chaque atome sur terre
Fut une joue de soleil, un front de Vénus.
La poussière qui se pose sur ce front délicat, essuie-la doucement:
Elle fut, elle aussi, visage et chevelure d'un être fragile.
(Omar Khayyâm, 12e siècle)
Commentaires
- Louis Gilbert Cette vision du monde m'est chère...qu'elle soit si bien exprimée au 12ème siècle me touche. Pis la recommandation du vin de ce Omar me fait persister dans cette voie sacrée!!!
«Premier correctif : ajouter du poids à l'arrière, en recourant, au besoin, à vos amis.» 😂
L'émission "Repères" avait d'excellents conseils pour aider les gens à améliorer leur conduite hivernale... en 1981. 😉


Humour - François Morel a une solution pour la réforme des retraites : "Afin d'assainir les caisses de l'État, tâchons de mourir tôt. Travaillons toute la vie puis mourrons avant d'envisager ces années superflues"


Quelle femme admirable!
Une mère qui s’est retroussé les manches après le suicide du père de ses trois enfants, il y a six ans, agit aujourd’hui comme leader parmi les femmes, comme elle, qui gèrent à la fois une famille et une entreprise agricole.
Commentaires
- Louis Horvath Poète Deux choses: Quelle horreur le suicide parmi les gens de la ferme!
Quelle femme admirable de se dévouer ainsi!
Une énorme fierté pour cette lecture d'un des mes poèmes de "à la périphérie du monde" (paru cette année chez Yves Artufel) et l'accompagnement à la mandole par Azul Nath Yenni Fellawen).


Commentaires
- Thierry Roquet (merci pour la vidéo, Sylvie Roverc'h-Wendt) ;-)
- Azul Nath Yenni Fellawen Soiree belle
- Malika Lounis Merci Sylvie! ☺
Making A Wood Chipper
Partner: Make it Extreme
Faire un bois en bois
Partenaire : Make it Extreme


Prière à Saint Michel Archange
Saint Michel Archange,
Défends-nous dans le combat, sois notre secours contre la Malice et les embûches du démon,
Nous le demandons en suppliant : que Dieu lui impose son pouvoir ; et
toi, Prince de la milice céleste, par la Puissance divine, repousse en
enfer Satan et les autres esprits mauvais qui rôdent dans le monde pour
la perte des âmes.
L'endroit idéal pour décrocher et s'éloigner de la ville!
Pourquoi lisez-vous, Christian BOBIN ?
Pour recevoir le don d'un silence qui me relie étrangement au monde entier,
pour que la solitude soit le lien parfait à chaque vivant dans ce monde.
Le livre est un petit monastère qui vibre quand il est bien fait, quand il existe. ...
Tous les livres n'existent pas.
Quand le livre existe, sa lecture vous relie au monde entier.
Je suis contemporain de Charles d'Orléans,
je suis contemporain d'Anna Akhmatova qui est pourtant morte en 1966.
Elle est bien morte, mais je suis son contemporain, elle est ma voisine.
Tous ces gens sont mes voisins.
Je lis pour multiplier mes voisins.
Entretien avec François Busnel, La grande librairie le 4/12/19
Commentaires
- Mary-Françoise Hachet Cette phrase m'a interpellée lors de l'émission : le livre quand il existe....J'en conclus que certains livres n'existent pas.....Un peu présomptueux.... de dire cela ....Je pense que ce n'est pas à l'écrivain de dire cela mais au lecteur....Comme l'aurais dit en son temps Marcel Duchamp : C'est le regardeur qui fait le tableau....
- Philippe DE Beaumont Christan BOBIN ecrit merveilleusement. Il lit manifestement avec une attente de la singularité de l AUTRE. En fait il est constamment a l ecoute du battement du coeur de l humanite. Les generations se suivent depuis la nuit des temps. 4 000 ans pour la…Voir plus
- Christine Raison "' Je lis pour multiplier mes voisins"'.
Je suis d'accord...
Voyage –
Rien ne nous est plus étranger que le voyage. Surtout, va sans dire, ce que le capitalisme en a fait : une marchandise de plus. Longtemps qu'on ne croit plus aux endroits qu'il «faut voir» (les «must see»). On est allé à Beijing sans aller voir la Grande Muraille, à Delhi sans aller voir le Taj Mahal.
Et la culture? Les cultures? Qu'est-ce que la culture canadienne? La culture québécoise? Si je dois les définir, je tombe vite dans le cliché – comme la couverture du ...Lonely Planet Québec, autrefois (vers 2005), qui montrait un barbu en veste carreautée avalant une louche de sirop d'érable. Les cultures dans ce sens-là, non. Mais il y a un marché pour ces livres-là aussi. J'ai été invité parfois, cheveu sur la soupe, à des tables rondes en compagnie d'auteurs.trices de ce champ-là, qui font des livres «des cultures». Ils.elles aiment surtout les cultures mineures ou peu connues : une tribu au fond de la Birmanie, les «peuples de la mer», etc.
Au contraire, ce qui nous intéresse, dans les cultures, c'est ce qui les relie au présent. Il faut connaître la langue thaïe d'aujourd'hui pour savoir tout ce qu'elle charrie d'anglais, d'urbanité, de modernité. La façon thaïe de s'approprier le monde – le mondialisé – est bien plus intéressante, je trouve, que le traditionnel qu'on nous vend dans les marchés touristiques.
L'urbanité, en particulier, est un champ où la «différence culturelle» s'atténue. Porter attention à cette indifférence, au sens propre, voilà ce qu'a été le travail de _Big Bang City_. C'est très politique, je crois (mais complètement à l'opposé de la notion à la mode de «diversité»).
Pourquoi aller ailleurs, alors? Ce n'est pas vraiment l'ailleurs, qui est en question. Mais, à certains endroits, la surface lisse de notre monde, de nos villes, se défait, se décompose comme un visage décontenancé. D'une certaine façon, on remonte dans l'inchoatif, dans le temps de «l'en train de» : en train de prendre forme, en train d'esquisser ses structures. Pour moi, je le sais, c'est une façon de revenir à l'enfance : à ce monde hippie et bûcheron du fond de la Gaspésie où la débrouillardise et la bricole l'emportaient sur la structure, sur la loi ou la forme définie.
Et je suis sûr qu'il reste, même au Québec, des petites zones, des marges où tout n'est pas encore organisé, où il y a encore de l'esquisse, du linéament, du nombre. Pour _Terminal terrestre_ (https://www.mahigan.com/tt), j'ai le projet, l'été prochain, d'aller chercher cette matière dans certaines régions au nord (en Abitibi, peut-être) – comme je le fais ici, en Thaïlande, ou dans d'autres pays d'Asie.
Commentaires
- Robert Hébert « Où la débrouillardise et la bricole l'emportent sur la structure, sur la loi ou la forme définie »... Oui, partout ;)
Dimanche,
« Jour de Dieu » (Dies Dominicus) n’a pas perdu son ancien nom en
allemand (Sontag) et en anglais (Sunday, hérité du saxon), « Jour du
Soleil ».
Pour ma part, j’attends, à 5h10, que ledit Soleil fasse
son apparition, non pas en jaune comme on se le figure, mais en bleu,
ainsi qu’il aime à peinturlurer le ciel.
Je laisse aux Chrétiens le
loisir de dédier ce septième jour de la semaine (pourquoi d’ailleurs le
septième, et pourquoi, d’autre part, la semaine ?) au Dieu ...dont
Moïse ne vit jamais se profiler le visage ni la stature, se contentant
d’une voix qui fait penser à celle du marionnettiste caché derrière le
rideau de son castelet.
« Guignol, Guignol, attention, le vilain
Dieu et son bâton est caché juste derrière le rideau ! », s’exclament
les marmots au Luxembourg ! Même lorsque Sontag s’est mué en Regentag, «
Jour de la pluie », ce qui arrive bien souvent les dimanches de
décembre, nom de Dies ! (pour parler en latin de cuisine et de
sacristie).
(Avignon, ce 8 décembre 2016).
Commentaires
- Serge Prioul Bon Dji, en Galo (langue Latine) quasiment la même prononciation que Dies, mais comme si on distinguait le i du e.
- Gil Jouanard Je connais cet avatar morbihannais du post gallo-romain, cher Serge (d'autant plus que j'ai été autrefois gendre d'un bourgeois de Malestroit, où se confondent les racines ibériques, vénètes, romano-gauloises et galloises...).
- Balpe Jean-Pierre Il pleut, il pleut, il pleut,…
Commentaires
- Riet Morgan Bon anniversaire, Pierre !
- Beatrice Normand Bon anniversaire Pierre ,Ambiance porteuse de moments d'expression marquants ...théâtre , expositions ,écrits de qualité parfumés d'histoire...Pensées artistiques et amicales .
- Jean-François Sené Quelle idée de naître en décembre, mois des voeux!!! Voeux de Noël et voeux de bonne année nouvelle... Et puis si cadeaux d'anniversaire il y a, qu'attendre pour les cadeaux de Noël (ou vice versa)? Bon, ce n'est pas une raison pour ne pas vous souhaiter une excellente journée arrosée d'autre chose que d'eau, avec mes voeux les plus cordiaux.
- Ghislaine de Roux bel anniversaire et merci pour ces photos de Camille!
Jean-Paul de DADELSEN
"Bach en automne" (II):
"J'ai connu jadis les jours de marche, les ormes vers le soir énumérés
De borne à borne sous le soleil chromatique,...
L'auberge à la nuit où fument quenelles de foie et cochon frais.
Jadis à libres journées j'ai marché jusqu'à Hambourg écouter le vieux maître.
Haendel en chaise de poste s'en est allé
Distraire le roi de Hanovre; Scarlatti vagabonde dans les fêtes d'Espagne.
Ils sont heureux.
Mais à quoi serviraient les pédales des orgues, sinon
À signifier la route indispensable ?
Sur ce chemin de bois, usé comme un escalier, chaque jour, que ce fût
Sous les trompettes de Pâques ou les hautbois jumeaux de Noël,
Sous l'arc-en-ciel des voix d'anges et d'âmes,
De borne à borne répétant mon terrestre voyage, j'ai arpenté
La progression fondamentale de la basse."
(dédicace spéciale au beau roman de Daniel Morvan "L'orgue du Sonnenberg" – et à tous les camarades de la Haute Académie de Basse-Bretagne....)
Une étudiante indienne a eu le coup de foudre pour la littérature québécoise. Et elle a rencontré Kim Thúy.
Commentaires
- Sylvain Cormier Et la version de notre chère et magnifique Renée Martel... (que je préfère, of course).
https://youtu.be/OOBAxdhdcsU
C'est encore arrivé ce matin.
Rien à faire, je ne m'y fais pas.
J'ai regardé cette femme libellule.
Accrochée à un mur devant lequel je passe régulièrement.
Et... je me suis demandé si elle était là depuis longtemps.
Si elle est nouvelle ou si c'est moi.
Probablement moi.
Urgent besoin de réapprendre à regarder.
Le monde autour de moi...
Murale no 633.
Une volonté de fer 💪



Jf Lauzon a changé sa photo de couverture.
#commedansunfilm
#Quebecofolies2019
Photo: Boris Spiers et William Lambion
Commentaires
- Elena Ventura le courage de ne pas mourir même dans les jours trop noirs et continuer à allumer des feux et rallumer des étoiles, ensemble toujours avec Thomas Vinau :-)
- Jen Ndrycks C est doux!
- Cécile Morel-Chevalier Les soirs trop noirs j'allume un feu et lis Thomas Vinau.
La pâtisserie, c’est une religion et Amaury Guichon est son prophète.


