Evaluation et pŽtition par le Centre Culturel de Recherches "Galileo1 Parme (Italie) Le ComitŽ Scientifique de ÇGalileo -Centre Culturel de recherche EsobiologiqueÈ, situŽ ˆ Corcagnano (PR) en Via Donatori di Sangue 4 (composŽe d'un IngŽnieur en Žlectronique, ingŽnieur des tŽlŽcommunications, un chimiste industriel, un microbiologiste et un 1 " ATG marŽchal de l'Air Force Service mŽtŽorologique) a le but de solliciter l'opinion publique, afin dÕattirer l'attention sur ce phŽnomne rŽel, mais encore nŽgligŽ, voire ignorŽ, des tra”nŽes dÕavions anormalement persistante. Les documents recueillis sous la forme de dŽpositions de tŽmoins oculaires, de photographies et d'analyses chimiques montrent un phŽnomne mondial et prŽsent mme dans nos cieux depuis quelques annŽes. La nature des ces tra”nŽes n'a pas encore ŽtŽ clairement dŽfinie, mais les nombreuses preuves nous suggrent que leur origine n'est pas de facture conventionnelle, puisque, comme mieux indiquŽ ci-dessous, ces tra”nŽes sont composŽs d'ŽlŽments chimiques divers. Et alors il faut se demander s'ils peuvent avoir des effets sur la santŽ publique, Žtant donnŽ que, inŽvitablement, les composants de cesÇ traces È tendent ˆ tomber sur le sol, de mme que les particules radioactives, favorisŽes par les conditions mŽtŽorologiques (vent, pluie, brouillard, etc.). Qu'il ne s'agit pas de tra”nŽes ordinaires de vapeur d'eau, contenue dans le gaz d'Žchappement des moteurs ˆ rŽaction des avions, civils et militaires, maintenant tout le monde le sait. . Cela est dŽmontrŽ par des attestations scientifiques qualifiŽes. Sans doute l'intŽrt et le soin montrŽs par les institutions compŽtentes, ces dernires annŽes, en ce qui concerne la qualitŽ de l'air, sont extrmement positives. Des dŽcisions courageuses et souvent impopulaires prises ˆ cet Žgard, avec la restriction de l'utilisation des automobiles et de motocycles ˆ l'intŽrieur de la ville, en particulier pour les vŽhicules vieux et donc plus polluants, ainsi que le contr™le des Žmissions provenant des systmes de chauffage (autant publics que privŽs) sur le territoire. Tout cela, cependant, n'aurait aucune valeur pratique, si l'on constate que ces tra”nŽes, reprŽsentent une menace pour la santŽ des citoyens et ce indŽpendamment de Ç par QUI et POURQUOI sont produites et / ou commandŽes È En effet, tout cela serait insuffisant pour contrarier l'incidence des dŽcs dues aux maladies du poumon, causŽes par le smog au milieu urbain, et plus nombreuses des accidents de voiture, en limitant les Žmissions nocives, aussi dangereuses lorsque les composants peuvent tomber sur notre tte. Nos revendications sont bien supportŽes par des preuves tangibles recueillies dans un volumineux ÇdossierÈ, tant au niveau international que local. Mme dans le ciel de Parme, rŽcemment, on a observŽ ces tra”nŽes anormales, les dernires ayant ŽtŽ relevŽes ˆ la verticale du centre-ville de Salsomaggiore, ceci Žtant bien documentŽ par un tŽmoin oculaire. Mais les attestations les plus surprenantes viennent de l'analyse chimique qualitative et quantitative, rŽalisŽe en DŽcembre 2005, par un laboratoire spŽcialisŽ du CNR. Ces enqutes ont permis d'identifier, dans l'eau de pluie recueillie immŽdiatement aprs l'apparition de ces type de tra”nŽes, des substances ABSOLUMENT ETRANGERES ˆ la composition normale de l'atmosphre. Un certain nombre de substances qui non seulement n'ont rien ˆ voir avec le milieu aŽrien NATUREL, mais qui, si elle sont inhalŽ ou ingŽrŽ (directement ou indirectement), sont CONSIDEREES PATHOGENES pour l'homme: quartz (silicose =), aluminium (= Alzheimer), baryum (=sclŽrose multiple), titane, polymres organiques non identifiables (= Morgellons), etc. Ces substances, si inhalŽes pendant longtemps (et les tra”nŽes en question sont visiblement compactes dans le ciel pendant plusieurs heures, au contraire de la condensation ÇnormaleÈ, qui se dissout en quelques minutes), sont trs dangereuses pour les poumons et potentiellement une cause, entre autres, de la silicose, qui peut se produire mme aprs des annŽes d'exposition ˆ ces contaminants. Giorgio Pattera Biologiste et journaliste -Centre Culturel de Recherches "Galileo" -43010 Corcagnano -Parme (Italie) giorgio.pattera@alice.it galileo.cre@gmail.com